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Concert du 10 décembre 2019 au TCE

"Veronique Gens prend très rapidement ses marques dans le Salve Regina de Scarlatti, dans lequel elle déploie son très beau timbre et sa technique souveraine, délivrant une prière retenue, interprétée sur le souffle. Son chant raffiné culmine dans une très belle interprétation du Eia ergo."

Operaphile, 25 décembre 2019

A propos du récital au Musée d'Orsay

"Une leçon de style d’abord, sans quoi le chant n’est pas grand-chose : tout au long d’un programme explorant la diversité de la mélodie française, Véronique Gens séduit par sa capacité à saisir d’emblée le caractère de chaque pièce, à en restituer les spécificités et la singularité."

Forumopera, Clément Taillia, 21 novembre 2019

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A propos de The French Romantic Experience

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« Appearing a number of times on this set, I have to single out French soprano Véronique Gens who is in simply stunning form, displaying her focused voice, dark hued with resonant tone. Falling between the true soprano and mezzo-soprano Gen’s voice is often described as a ‘Falcon’ after the French soprano Cornélie Falcon who performed several of the roles in Meyerbeer and Halévy operas staged in the 1830s. »

Michael Cookson, musicweb-international.com

"A l’écoute, on comprend bientôt que le disque 1830-1900 tourne un peu au récital « Véronique Gensand Friends »,  tant la soprano – et ce n’est que justice – a été sollicitée pour les entreprises de réhabilitation menées par le Palazzetto : Dantede Benjamin Godard, La Reine de Chypre d’Halévy, Herculanum de Félicien David, Cinq-Mars de Gounod, Proserpine de Saint-Saëns, La Jacquerie de Lalo et, tout récemment, la version originale du Faust de Gounod. Aucun(e) autre artiste ne semble être aussi présent(e) dans ces enregistrements, mais l’on ne s’en plaindra pas. "

Forumopera, Laurent Bury, octobre 2019

A propos de Halévy, La Reine de Chypre

"Véronique Gens, in superb voice, is dramatically convincing throughout, as though she were in a staged performance.

Gramophone, Richard Lawrence

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Album "Faust"

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"Véronique Gens se ha convertido, de facto, en soprano titular de la casa. Protagonista de muchos de los registros de la serie, incluidos papeles de soprano falcon que le convenían menos (Marie de Gonzague de Cinq-Mars del propio Gounod o la protagonista de La reine de Chypre de Halévy), en esta ocasión la soprano de Orléans afronta un papel para el que sí tiene en regla todas las cartas. Frente al caso del tenor, aquí la competencia es mucho más dura, empezando por la Marguerite ideal de Victoria de los Ángeles, pero también por el instrumento más denso y de mayor cuerpo de Mirella Freni, la gran encarnación de la década de 1970 y 1980. Ambas tenían un gran dominio del estilo requerido. Gens tiene siempre la inteligencia de no pretender ser lo que no es, convenciendo desde sus medios, a los que añade una capacidad expresiva que solo es posible desde un gran control técnico y un conocimiento profundo de la lengua, combinando ambos en el acercamiento musical y la prosodia. El resultado, como es habitual en ella, es exquisito, con la dosis justa de teatralidad para insuflar vida e interés a un papel que muchos han calificado de inerte y carente de toda pulsión dramática. La opción sistemática de abordar las notas graves donde la partitura presenta variantes termina de configurar un personaje de mayor peso y profundidad, mucho más que la exhibición algo vacía de “Je ris de me voir si belle dans ce miroir”.

Raúl González Arévalo, Mundoclasico.com, 11 décembre 2019

"As Marguerite, Orléans born soprano Véronique Gens in quite marvellous voice demonstrates her stylish technique and unerring control that combine with an elevated level of expression. Marguerite’s highly demanding act two scene comprising of the ‘Song of the King of Thule’ and ‘Jewel Song’ is exquisitely accomplished. Expressing such generosity of spirit and genuine feeling for the text, Gens generates a stirring sense of drama. With such smooth and even projection, I relish the conclusive glide to her high register. From act two, Faust and Marguerite’s duet Laisse ma main demonstrates such beautiful singing, with an ecstatic feel and an abundance of passion. Extremely moving is their demanding act four duet Ah! c’est la voix du bien-aimé! where they ratchet up the emotional tension so successfully."

Michael Cookson, Musicweb International

La première version du célèbre opéra, plus théâtrale et comique, ressuscitée par un orchestre vif et une distribution resplendissante. Une révélation. 

"Véronique Gens chante sa première Marguerite avec une classe folle et une empathie déchirante."

Télérama, Sophie Bourdais

L'album Faust, élu Album of the Week pour le Times, Septembre 2019

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"The Marguerite is Veronique Gens, a lyric soprano familiar to most of us from her notable work in French mélodies and Baroque Operas. Here she delivers a youthful-sounding heroine with the agility for a nice Jewel Song and the power to hold her own in the Church Scene and in the final trio."

Rafael de Acha, Rafael's Music Notes, 1er septembre 2019

A propos de Maître Péronilla de Jacques Offenbach, au TCE

 "La soprano française apporte à la follette Léona, au tempérament de feu et à l'hystérique manigance, une verve pétulante et un chant généreux."

On-mag.fr, Jean-Pierre Robert, 3 juin 2019

"Née à une date inconnue sous le brûlant soleil d’Espagne, Léona trouve en Véronique Gens une formidable interprète au sens comique prononcé qui, de sa militante hispanité, déclenche quelques uns des plus beaux éclats de rire de la soirée."

Concertclassic.com, Alain Cochard

Palazzetto Bru Zane Festival, laughing in music

 

"What panache with Antoinette Dennefeld's Frimouskino, with ardor in Alavarès by Chantal Santon-Jeffery, with self-mockery in the Léona by the aristocratic Véronique Gens, and with juvenility already ruffled by Manoëla d'Anaïs Constans ! "

Newsy-today.com, DRbyos, 3 juin 2019

"Véronique Gens campe une intense et fière Léona, « Espagnole née sous un soleil de feu », aux accès retentissants."

Opera-online.com, Thibault Vicq, 1er juin 2019

" Après plus de trente années de carrière, la soprano française est sur tous les fronts, en ce printemps 2019. Alors qu’elle prépare la résurrection de Maître Péronilla d’Offenbach, le 1er juin, au Théâtre des Champs-Élysées, sous les auspices du Palazzetto Bru Zane, elle accompagne la sortie de deux nouveaux disques auxquels elle tient particulièrement : le Poème de l’amour et de la mer de Chausson, chez Alpha, avec l’Orchestre National de Lille, et Les Indes galantes de Rameau, chez Glossa, en partenariat avec le Centre de Musique Baroque de Versailles. Des périodes de l’histoire de la musique et des styles on ne peut plus contrastés, qui correspondent au renouvellement de l’image d’une cantatrice trop longtemps cataloguée « baroqueuse » et/ou « tragique »."

Opera Magazine, numéro 149, Avril 2019

"La soprano au timbre somptueux est une comédienne accomplie et une inlassable exploratrice. Méchante Hécube, innocente Marguerite ou insolente Hélène, Véronique Gens ennoblit toutes les héroïnes qu’elle incarne."

TELERAMA, Sophie Bourdais, 4 avril 2019

A propos de l'album Chausson, Poèmes de l'amour et de la mer

"Gens’s dark tone and her ability to fuse sound with sense allow her both to encompass the work’s rapturous lyricism and to map out the psychological subtlety of its depiction of the painful end of an affair, viewed against the backdrop of the immutable cycles of nature. Every word of Maurice Buchor’s rather ornate text is given clarity and meaning without fracturing the vocal line. The oscillating emotions, as hope gives way first to anxiety, then to despair, are more searchingly conveyed here than in any other version I know, while the closing ‘Le temps des lilas’ brings with it both a deep, contained sadness and a disquieting air of irrevocable finality."

Gramophone, may 2019

LA SINGULARITÉ DE CHAUSSON SELON VÉRONIQUE GENS ET ALEXANDRE BLOCH

"Avec un chant tourné vers les mots, toujours au service de l’expression, et une déclamation qui enchante, Véronique Gens dépeint avec délice des couleurs vibrantes presque énigmatiques. Son sens dramatique va de la clarté innocente vers une ombre mystérieuse, autant dans le premier poème La fleur des eaux que dans La mort de l’amour, deuxième grande page de Chausson reliée par la première grâce à un interlude purement orchestral."

Resmusica, 3 mai 2019, Charlotte Saulneron

A propos de Armide de Lully et Francoeur

"Avec Armide, habillée d’une magnifique robe de circonstance, Véronique Gens aborde un rôle à sa mesure : non seulement on admire les qualités de la chanteuse — une voix sonore et capiteuse sur toute la tessiture avec ce qu’il faut de métal dans les passages les plus dramatiques — mais on ne peut que la louer d’avoir accepté cette version, plutôt que non celles de Lully et de Gluck : les œuvres moins évidentes on besoin d’artistes plus en vue."

Le Babillard, par Pierre-Antoine Miron · publié mardi 2 avril 2019

" Ce sont justement ces qualités précises que Véronique Gens, en grande forme vocale, possède notamment dans son approche de la Tragédie Lyrique. Son apparition dans une magnifique robe rouge incarnat dotée de larges manches volantes, installe à l’instant le personnage. Sans perdre sa luminosité et sa flexibilité, sa voix s’impose dés les premières mesures par sa noblesse de ton et cette rigueur stylistique qui n’est jamais chez elle synonyme de froideur. La ligne vocale jamais ne se relâche, l’aigu se déploie avec ferveur, la prononciation ne laisse rien de côté. Son envolée finale, les bras relevés, après avoir maudit son sort à l’abandon de Renaud, la trouve irrésistible. "

Olyrix.com, José Pons, 04 avril 2019

" Et que dire de Véronique Gens, royale dans un rôle dont elle possède toutes les qualités : la dignité du phrasé, la profondeur de grave et la hardiesse des aigus, pour ne rien dire de cette incomparable noblesse vocale qui fait de chacune de ses phrases un moment de grande beauté."

Resmusica, Pierre Degott, 6 avril 2019

A propos de l'album Chausson, Poèmes de l'amour et de la mer

"D’une couleur plus sombre, d’un medium plus large, la soprano Véronique Gens a le caractère idoine, l’articulation naturelle et sépulcrale (« La mort de l’amour » : détachée, précise, l’articulation flotte et dessine des images bercées par une volupté brumeuse et cotonneuse, mais dont le dessin et les images demeurent toujours présent dans l’orchestre, grâce à sa diction exemplaire : quel régal). 

L’intelligibilité de la cantatrice, le poids qu’elle préserve et assure à chaque vers poétique (réagencé par Chausson à partir des textes de Bouchor) sert admirablement le flux orchestral, ses enchantements harmoniques qui bercent et hypnotisent, jusqu’à l’extase et l’abandon. Remarquable équilibre entre suggestion et allant dramatique. « Le temps des Lilas et le temps des roses ne reviendra plus … » regaillardit à la fin une succession de paysages mornes et éteints mais d’une sourde activité. Le beauté fragile qui s’efface à mesure qu’elle se déploie et se consume trouve une expression caressante et sensuelle dans le chant de l’orchestre, résigné mais déterminé (« Et toi que fais-tu ? »)."

Classiquenews.com, Lucas Irom, 23/03/2019

"Above all, though, the Poème is a wonderful vehicle for any soprano, and Véronique Gens floats Chausson’s vocal lines effortlessly over the orchestra with supreme elegance and fabulous clarity; full texts are provided with the disc, but Gens’s singing is so perfectly enunciated, so pure in its phrasing and articulation, you really don’t need them."

The Guardian, Andrew Clements, 28 mars 2019

Album of the week, Sunday Times

"La profondeur, la mélancolie, la nature idéalement sombre de la voix de Véronique Gens portent avec une exemplarité bienvenue l’aura poétique de cette mélodie française dont la soprano s’est faite héroïne. Ainsi dans Le Poème de l’amour et de la mer sur des textes de Maurice Bouchor, ami de Chausson, où le naturel de la diction, plus diseuse que déclamatoire, le galbe amoureux d’une articulation à la fois précise et gourmande, la délicatesse d’âme de la chanteuse, dessinent les épousailles fantasmées de la mort et de la volupté." 

Le Monde, Marie-Aude Roux, 29 mars 2019

A propos de Fidelio (Tourcoing, 9 décembre 2018)

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Patrice Henriot, Opéra Magazine, Février 2019
Stephane Lelievre, Olyrix, 13 février 2019

"Véronique Gens aborde pour la première fois le personnage de Léonore/Fidelio, dont elle propose un portrait très personnel. Plus lyrique que dramatique, Véronique Gens n’en éclaire pas moins toutes les facettes du personnage, mais sa détermination face au danger et sa volonté de sauver Florestan participe plus d’une course éperdue dictée par l’amour que d’une force inébranlable lui permettant d’affronter Pizzaro d’ « homme » à homme. Elle  délivre cependant avec assurance les redoutables sauts de tessiture de « Mich stärkt die Pflicht / Der treuen Gattenliebe! » (« Je dois ma force au devoir que m’inspire / La constance des liens de l’amour conjugal »), et son « Noch einen Laut – und du bist tot! » (« Encore un mot et tu es mort ») face à Pizarro a toute l’éloquence et la force requises. Elle fait entendre ailleurs dans le rôle une ligne de chant frémissante d’émotion, faisant du personnage une héroïne extrêmement touchante, plus qu’impressionnante."

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