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La presse en parle 

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ARCHIVES PRESSE 2016-2015

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A propos d'Iphigénie en Tauride (Paris, Opéra Garnier, décembre 2016)

www.webtheatre.fr : "Sa présence de braise et sa diction ciselée s’associent à ses graves mouillés de larmes et à ses aigus lunaires. Elle est de toute évidence l’une des grandes sopranos dramatiques d’aujourd’hui. Son Iphigénie traverse les temps et bouleverse.

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www.artistikrezo.com : "Dans le rôle-titre, la soprano française Véronique Gens sublime littéralement son personnage. Voix profonde et pure, aigus voluptueux, diction et musicalité parfaites, physique de madone italienne, c’est une véritable comédienne qui sait transmettre sa puissante sensibilité au service d’un rôle aussi complexe et d’une partition qu’elle affectionne sincèrement. Warlikowski la fait asseoir à l’avant-scène, face au public, les jambes au-dessus de la fosse d’orchestre, en robe de soie rouge écarlate, et ce moment nous bouleverse par la sobriété et le brio technique de la cantatrice."

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www.concertclassic.com : "Vieille aristocrate à la fière allure mais à la démarche hésitante, ou ingénue perverse toute de satin vêtue, Véronique Gens est une Iphigénie inoubliable qui allie à la beauté du chant une parfaite adéquation scénique. Convaincue par la proposition de son metteur en scène (à la différence de la première interprète, Susan Graham, que l’on avait sentie rétive), elle est un instrument merveilleusement malléable sans perdre pour autant sa forte personnalité : si « O toi qui prolongeas mes jours » nous transporte par l’homogénéité des registres, la netteté de la diction et la sculpturale beauté de la ligne, « O malheureuse Iphigénie » chantée archet à la corde comme une douce complainte, jambes dans le vide au-dessus de la fosse, constitue le sommet de la soirée."

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www.forumopera.com : "Ce n'est pas par esprit de clocher que l'on se réjouit de voir réunis trois chanteurs francophones de premier ordre pour les rôles principaux, mais par amour du beau chant qui, avec l'Iphigénie de Véronique Gens, s'écoule librement, sourd et jaillit de la moindre phrase, chaque mesure donnant à la soprano l'occasion de rappeler l'extraordinaire musicalité qui est la sienne. Jeune fille ou vieille femme, elle trouve dans l'ambivalence de la mise en scène et dans la gémellité avec sa doublure incarnée par Renate Jett, l'occasion de signer une interprétation mémorable."

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A propos de La Jacquerie de Lalo...

L'album La Jacquerie de Lalo/Coquard vient de recevoir le Prix de la critique allemande dans la catégorie opéra (Preis der deutsche Schallplattenkritik) !

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A propos du Prix In Honorem de l’Académie Charles Cros

Forumopera : "Alors qu’elle s’apprête à interpréter le rôle-titre d’Iphigénie en Tauride de Gluck à partir de la semaine prochaine à l’Opéra national de Paris, Véronique Gens a reçu hier, jeudi 24 novembre, le Grand prix In honorem de l’Académie Charles Cros. Cette distinction récompense un engagement sans faille en faveur du répertoire français. "

 

Olyrix, 25/11/2016  : "L’Académie Charles Cros a décerné son Grand prix In honorem à Véronique Gens, icône lyrique reconnue pour ses interprétations de la musique ancienne et ses collaborations avec les plus grands artistes du genre. Ce prix vient notamment récompenser la parution de deux livres-disques : "Cinq-Mars" de Charles Gounod ainsi que "La Jacquerie" d’Édouard Lalo et Arthur Coquard."

 

France Musique

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A propos de Proserpine de Saint Saëns...

Forumopéra, 11 octobre 2016

"...elle se donne à fond dans son incarnation de Proserpine, notamment lorsque l’héroïne se livre, au troisième acte, à une impressionnante invocation de son homonyme mythologique. Tragédienne, oui, et plus que jamais (il est maintenant confirmé que la glorieuse série de trois disques portant ce titre connaîtra un quatrième volet !). On rêve d’avance de sa Caterina Cornaro, pas celle de Donizetti, mais celle d’Halévy dans La Reine de Chypre programmée en juin prochain."

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A propos de La Jacquerie de Lalo

Resmusica, septembre 2016

"Véronique Gens envoute par la beauté royale de sa diction et de ses phrasés".

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A propos de Neere...
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L'album Neere a obtenu le Gramophone Classical Music Award 2016 dans la catégorie Solo Vocal.

En savoir plus (Gramophone Review)

 
A propos de Dante de Godard...

Classical Iconoclast

"While Godard certainly can whip up a beautiful storm, helped by the exceptionally good performance,  Véronique Gens is easily the finest specialist in late French Romantic repertoire,and brings the very tricky role of Béatrice to life with the lustrous timbre of her voice, and the poise with which she negotiates the range in the part."

 
 
A propos de Don Giovanni...

Bachtrack, 8 mai 2016

"As Donna Elvira, Gens pierced the air nervously with her pearly soprano in her entrance aria. By the time she got to her beautifully carved “Mi tradì quell'alma ingrata”, her character had achieved a level of tragic pathos which was missing in the other opera seria figures."

 

A propos de Didon et Enée...
23 Mars 2016

Bachtrack

Véronique qui se révéla, malgré tout, la principale attraction du spectacle. D’autant qu’il fut particulièrement émouvant d’y voir la fameuse soprane, qui compte aujourd’hui parmi les plus célèbres mozartiennes et qui a étendu depuis son registre à la tragédie et à la mélodie française avec son habituel succès, revenir ici à ses premières amours baroques et à son « découvreur » Malgoire, après son triomphe dans l’Alceste de Gluck. L’entendre, dans le célébrissime « When I am laid », invoquer sans effort apparent toute l’essence tragique du destin de Didon, entre la violence décrite par Virgile et la résignation plus pure évoquée par Purcell – chez qui elle est victime d’un complot de sorcières, et non de la volonté des Dieux – a de quoi faire frissonner le plus insensible des spectateurs. Brisée mais encore altière, généreuse, allant jusqu’à faire de son bras fracturé un atout scénique, d’une finesse inépuisable dans le moindre de ses ornements, Véronique Gens fut simplement sublime, et justifiait à elle seule le déplacement.

 

A propos de Néère...
Mars 2016
Opernwelt, "CD des Monats"

(Cliquez pour ouvrir)

 

 

Agenda

18 novembre :

France Musique : "Classic Club" de Lionel Esparza en direct  de l'Hotel Bedford (Paris 8e).

 

Interview

Tutti Magazine

Novembre 2015

"Le 12 novembre 2015, Véronique Gens et Susan Manoff présentaient l'intégralité du programme de leur album "Néère" à la Salle Gaveau. Beau moment dédié à la mélodie française devant un public sous le charme qui permettait à Véronique Gens d'incarner les textes avec une délicatesse et une poésie absolues. Sa voix riche aux sons toujours moelleux répondait au jeu tantôt orchestral tantôt retenu mais toujours complémentaire d'une Susan Manoff radieuse et expressive."

 

A propos du récital de mélodies françaises du 12 novembre 2015...

Forumopera

"Si Véronique Gens était gemme, elle serait opale et, s’il fallait la décrire en un mot, ce ne serait ni « tragédie », ni « comédie », mais « poésie »."

 

A propos de Néère...

Télérama 

04/11/2015

"(...) Véronique Gens apporte, au delà d'une voix épanouie et d'une diction superbe, tout ce qu'il faut d'esprit pour donner à chaque pièce son atmosphère propre".

 

Forumopera

20 octobre 2015

"(...)Véronique Gens, dans ces pièces bien souvent à fleur de peau, à la sensualité requise. Ne forçant pas l’articulation de son français toujours audible, elle laisse sa voix, « blanche comme un marbre avec ses roses joues » (l'on comprend ici pourquoi « Néère » donne son titre à l'album) épouser les contours mélodiques sinueux et les rythmes souvent complexes de « Chloris », de « Phidylé » ou de « L’Invitation au voyage ».

 

Mediapart, 27/10/2015
"(...) l'album de Véronique Gens et Susan Manoff est tellement beau... Que l'on se sent le devoir d'en faire entendre des extraits, qu'importe sous quelle forme. Reynaldo Hahn y tient le premier rôle et chacun peut constater comme la réhabiliation de ce compositeur est éclatante.La voix de Véronique Gens, toujours élégante et chaude, envoûtera les mélomanes. Avec un égal talent Susan Manoff accompagne la cantatrice. "

 

A propos d'Herculanum...

Forumopera
4 septembre 2015
"(...) Véronique Gens l’avait prouvé avec les volumes successifs de la série Tragédiennes, et surtout dans le dernier : la musique du XIXe siècle lui convient à merveille, ce que confirme une fois encore sa prestation dans Herculanum. La voix est à l’aise dans l’ensemble de la tessiture sans jamais trahir l’effort, l’incarnation est admirable et l’on rêve de la réentendre dans bien d’autres œuvres du même type."

 

Télérama

7 au 13 octobre 2015

"(....) la Lilia très gluckienne de Véronique Gens prend l'avantage dans les deux derniers (actes), notamment dans le sublime credo lyrique qu'elle brandit comme une grenade dégoupillée".

 

Opéra Magazine

Octobre 2015

"(...) Véronique Gens incarne une Lilia toute dévouée à sa foi, avec un timbre qui n'a peut-être jamais sonné aussi beau, et une expression d'une intensité poignante."

 

A propos d'Alceste de Gluck, Opéra de Paris, Juin/Juillet 2015...

concertclassic.com

"(...) Digne dès les premières phrases, à la fois colorées et intenses (« Sujets du roi le plus aimé »), l'Alceste de Gens passe par tous les états, de la passion aux affres de la douleur, luttant de toutes ses forces contre les Dieux avec une volonté irréfragable qui nous valent des moments de pure satisfaction musicale, qu'il s'agisse des longs récitatifs ou des airs attendus tels que « Divinités du Styx », « O dieux soutenez mon courage », ou « Ah, divinités implacables ». 

 

A propos d'Alceste de Gluck, Wiener Staatsoper, Novembre 2012...

Le Point
13 novembre 2012

" L'une des grandes voix du chant baroque dans le monde, la soprano française Véronique Gens, a connu lundi soir un triomphe pour ses débuts au prestigieux Opéra de Vienne (Staatsoper) dans le rôle-titre de l'opéra "Alceste" du compositeur allemand Christoph Willibald Gluck (1714-1787)."

 

 

 

 

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